Selon toi, quelles sont les plus grosses différences entre un spectacle dans une salle et un spectacle à La Folie Douce ?
Ce qu’il y a de compliqué à La Folie Douce, c’est que le quatrième mur n’existe pas. Il faut constamment aller chercher le regard des gens. Ce qui prime, c’est le contact avec le public, d’aller leur parler, d’être près d’eux, de chanter pour eux, de s’amuser avec eux que ce soit les familles, les jeunes… C’est ce qui constitue le grand défi de La Folie Douce afin de créer un spectacle 360° que ce soit à la fruitière ou pour la partie clubbing…
Il est important également pour un artiste d’être pluridisciplinaire. Un chanteur doit savoir danser et jouer la comédie. De plus, il est très difficile pour un chanteur de travailler en altitude à cause de la température et de l’impact que cela peut avoir sur sa voix.
Le plus important est qu’il y ait un partage entre l’artiste et le public, que ce ne soit pas uniquement une performance artistique, afin que chaque jour sorte du quotidien.